Vous-vous dîtes "je n'ai pas le choix de vivre ça?"
- Sandrine Biani Neuro-training
- 15 janv. 2020
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 avr. 2022

C'est possible qu’à un moment donné, vous, vous êtes positionnez en situation de victime.
Et il faut savoir que si vous positionnez en situation de victime, vous entrez dans ce qu’on appelle un triangle : le triangle de Karpman.
Pourquoi ?
Parce que vous allez attirer 2 autres profils.
Le second profil, c’est le profil de persécuteur.
C’est celui qui va courir après la victime. C’est celui qui va aller chercher la victime, c’est le prédateur, finalement.
Et puis, il y a un troisième rôle dans ce triangle de Karpman qui est le rôle de sauveur. Et ainsi, on arrive à un triangle.
Le rôle de sauveur, ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que certains, en voyant que vous êtes victime, vont arriver vous remettre leur cape de super-héros et vont venir vous sauver des griffes de ce prédateur (parfois avec amour et élan de solidarité pour vous).
De plus si vous êtes une victime, à un moment donné, vous occuperez tous les autres rôles, c’est-à-dire que par exemple, vous serez victime de vos actionnaires, vous serez victime de votre boss ou d'une situation...
Mais ça veut dire qu’à un moment donné, vous allez être vous-même persécuteur, c’est-à-dire que quelque part, vous avez pris une charge en tant que victime que vous allez avoir besoin de décharger sur quelqu’un d’autre.
Donc inconsciemment, vous allez persécuter quelqu’un d’autre et à un moment donné, puisque vous êtes dans le triangle, vous allez peut-être reconnaître une victime à distance et vous allez vouloir aller la "sauver".
Peu importe le rôle que vous avez, vous ferez tous les rôles, d’où l’importance de sortir du triangle.
"Pour sortir de la posture de victime et être libre,
je dois faire des choix par rapport à ce que je souhaite réellement."
Et ce choix concerne mon périmètre et non celui du voisin. C’est-à-dire que si je souhaite que l’autre change pour que je sois bien, je mets mon bonheur dans les mains de l’autre. Je m’emprisonne tout seul !
Pour éviter le déni de réalité du type :
Ce n’est pas normal !
Il ne devrait pas être comme ça !
Ça ne se fait pas !
Je peux me poser les questions suivantes :
Qu’est-ce qui est ?
Qu’est-ce que je souhaite ?
Qu’est-ce que je peux faire ?
(Et non qu’est-ce que l’autre devrait faire)
Un temps de réflexion est nécessaire pour que la situation soit claire, vous permettant de déterminer un plan d’action pour avoir ce que vous souhaitez.
Le moyen d’en sortir évidemment, c’est :
- d’être plus responsable. De ne plus remettre la faute sur l’autre et de se dire
« j’ai la pleine responsabilité des choses, je peux changer ».
- je "choisis de ...".

Je vous propose un suivit en
neuro-training pour aller à la source,
à l'origine du problème, à un niveau subconscient et transgénérationnel, afin de sortir de cette impuissance apprise qui crée des schémas répétitifs de modèles familiaux pour libérer votre passé, votre présent et vous offrir un meilleur futur !
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