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«Le syndrome prémenstruel» vous en souffrez?

Ces phénomènes que nous portons en nous qui s’expriment par des troubles rythmés par les règles, ont été appelé par la médecine, « le syndrôme prémenstruel ».


Pour les unes, ce sera de la mauvaise humeur, de la vulnérabilité, de l’insatisfaction, de la tristesse ou de la violence dans laquelle elles en veulent à la terre entière, et pour d’ autres, ce sera de l’apathie, de l’inertie, de l’épuisement ou des dépressions sans compter les douleurs des seins, le ballonement du ventre, le gonflement des chevilles et des jambes, les nausées et vomissements et les maux de tête pouvant se manifester comme de terribles migraines.


Ces pathologies gynécologiques qui ont atteint l’intégrité des femmes dans les générations antérieures :

- votre mère ou leurs tantes qui ont souffert de règles douloureuses

- ou bien ce sont leurs grand-mères et leurs arrières grands-mères qui ont été accablées de drames épouvantables : soit elles ont eu une hystérectomie, soit une ablation de l’utérus et des ovaires, soit elles sont mortes de grossesse extra-utérine, de cancer du sein ou de l’utérus ou n’ont pas survécues à la naissance de leur dernier enfant, soit elles ont eu des enfants morts, ont fait des fausses couches à répétition, ont perdu très jeunes leur mère, leurs frères ou sœurs d’épidémie ou leur père à la guerre, soit encore, elles étaient orphelines, enfant illégitime ou adoptées, sans connaître la vérité de leur histoire !!!


À l’époque de leurs mères et de leurs grand-mères, on taisait ces évènements sans penser que cela puisse avoir de conséquences. On ne parlait pas des drames qu’on voulait oublier, comme si le fait de les taire pouvait les faire disparaître.

On se disait qu’il ne fallait rien en dire pour ne pas faire de peine aux enfants ou à d’autres personnes. Ce n’est pas par ce qu’on occulte ce genre d’évènements, qu’ils s’effacent.


Les plaies que créent ces drames de la vie et de la mort et donc de la sexualité, restent ouvertes dans l’inconscient et ne peuvent cicatriser . Le deuil de ces malheurs ne peut se faire puisqu’on ne peut s’en faire une juste représentation. Comme ces traumatismes n’ont pas pu être ni acceptés, ni digérés, ils se transmettent dans la succession en y produisant des « pathologies fantômes ».

Les secrets et les non-dits enkystent la pensée et l’empêchent de se donner une vision claire de la vie.

Il se crée alors une crypte en nous dans laquelle ces traumatismes sont toujours actifs et ont besoin de s’exprimer d’une façon ou d’une autre !


Les symptômes quels qu’ils soient, que nous ayons incorporé les forces énergétiques de notre histoire familiale ou que nous tentions de les fuir, celles-ci sont forcément présentes en nous, et si nous n’en prenons pas conscience, nous y restons inconsciemment reliées.

Notre civilisation a perdu le sens de l’importance de la mémoire des ancêtres.

Alors que nous n’avons plus de croyances, de rituels, ni de mythes référés à la mémoire ancestrale, faire son arbre généalogique c’est reconnaître la façon dont nos ancêtres ont vécu.


Le découvrir tout en sachant ce que nous voulons savoir, c’est reconnaître la place qui nous a été attribuée.


Ce n’est pas une simple curiosité, mais une prise de contact avec les personnes qui nous ont précédées grâce auxquelles nous sommes vivants :

comment ont-ils vécu ? Ont-ils apprécié leur vie ou bien sont-ils restés dans leurs enfermements ? Ont-ils été déprimés, des violents, des enfants malheureux, des affairistes, des aventuriers, des créateurs ou ont-ils eux-mêmes répété leur histoire familiale ?



Au fur et à mesure que l’on construit son arbre,

émergent les origines de nos répétitions, de nos freins,

de nos échecs, de nos peurs et de nos maladies,

mais aussi de nos talents, de nos capacités

et de nos compétences.

Se libérer de notre mémoire transgénérationnelle grâce aux techniques de neuro-training permet,

non pas d'oublier, mais permet à l'énergie de circuler

pour avoir accés à toutes nos ressources héritées

et ainsi retrouver le bien-être et prendre sa place.

 
 
 

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