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Croyance limitante : "Un air de famille !"

Dernière mise à jour : 25 avr. 2022

Définition de croyance :

Etymologie : du latin classique credere, tenir pour vraie quelque chose, croire, penser, avoir confiance, se fier. La croyance est le fait de croire, c'est-à-dire de tenir quelque chose pour véritable ou réelle, d'être persuadé ou intimement convaincu qu'elle est vraie ou qu'elle existe.


Rappelez-vous que vos pensées et vos croyances détermineront toujours comment vous percevez votre réalité.

Ce que vous croyez est ce que vous percevez !

Les croyances concernent tous les domaines de la vie : l’image de soi, l’amour, nos capacités, nos rapports aux autres, notre travail, etc…

Elles peuvent devenir limitantes si elles entretiennent des pensées qui nous empêchent de percevoir une situation de façon rationnelle ou selon un autre point de vue qui nous permettrait d’agir différemment, de "déplier nos ailes" pour être pleinement acteur de notre vie !


Ces croyances limitantes vous amènent à vous percevoir de la mauvaise façon.

Ce qui en découlent des réactions émotionnelles et des comportements qui ne seront pas

le reflet de qui vous êtes vraiment mais qui vous donneront l'illusion de qui vous croyez être entraînant :

- peur et phobies bloquant notre intellect à trouver des solutions

- Doute de soi

- Refoulement et compensation

etc...


1/ Croyances limitantes conscientes


"Ce n'est pas une situation difficile en soi qui cause notre souffrance

mais bien notre pensée face à cette situation "(Byron Katie)


Nos croyances limitantes au quotidien

Pensez à ces quelques phrases banales que nous prononçons chaque jour :


- “Je ne peux pas dire la vérité parce que je risque d’être jugé…"

- “Je ne peux pas demander ce que je veux, que ferais-je si j’étais rejeté ?"

- “Je ne peux pas faire confiance aux gens parce que j’ai déjà été trahi…"

- “Je suppose que je ne peux pas poursuivre mes rêves car je ne fais qu'échouais…"

- “Je ne peux pas arrêter de fumer, cela veut dire que je suis sans volonté …”


L’adulte conserve ces ancrages. Par peur du rejet, de l’abandon, de la perte de ... et de l’illusion d’amour ou de réconfort que cela lui donnait, il a subi puis accepté ce qui était imposé et par habitude va repousser tout autre schéma relationnel.


Ce sur quoi vous portez votre attention prendra de l’expansion. Vos croyances sont toujours validées par la réalité que vous attirez à vous.

Ces croyances influent sur notre comportement, nous avons tendance à produire

des expériences qui les renforcent.

Est-ce que votre “vérité” est soutenue par votre système de croyances?



Vous pouvez évaluer vos croyances limitantes conscientes en déterminant quelles sont les expériences que celle-ci ont crées et en faire une liste.

Elles seront limitantes si :

- elles créent de la peur, de la tristesse, de la colère, de la séparation ou de l’anxiété etc...

- C'est-ce quelque chose que vous n'aimeriez pas continuer à vivre

Et par la suite déterminer les croyances soutenantes et positives qui peuvent les remplacer.

Elles déterminent ce en quoi vous voudriez continuer de croire, donc de vivre.

Vous pouvez par exemple affirmer:

« j’ai le droit de me faire plaisir »

« j’ai le droit de satisfaire mes besoins »

« J’ai de la valeur tel que je suis »

« j’ai le droit de dire NON »

Mais il ne vous fera aucun bien de vous dire simplement que vous ne croyez plus “ça”.

Ma suggestion est d’avoir l’intention de voir dans votre vie quotidienne les preuves qui viennent valider la nouvelle croyance que vous souhaitez.

Toutes nos croyances sont basées sur des évidences et des preuves !


L'ACTION EST LE SEUL FILTRE DE LA REALITE !



Il est complexe pour l’être humain, de changer de perceptions, de croyances, de comportements malgré que cela soit sans aucun doute, la cause de souffrances, d'addictions, de mal-être et même de graves maladies.

Abandonner l’énergie liée au passé, nous oblige à se détacher d’un certain confort lié à des situations que l’on connait pour aller vers quelque chose qui est totalement inconnu.


Être une victime procure bien sûr des désagréments mais aussi certains bénéfices secondaires.

Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai.


En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…

Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.

La maladie, le symptôme, l'accident, l'addiction nous ont peut-être fournit d'excuse, de ne pas prendre nos responsabilités, ou de ne pas faire certains choix.

Nous avons sûrement fait ce que nous avons pu à ce moment-là !



2/ Croyances inconscientes héritées et familiales


Cependant, les croyances inconscientes sont un peu plus difficiles à revoir, puisqu’elles ne sont pas dans votre attention consciente.

Elles créent cependant activement votre réalité, alors bien que vous ne soyez pas conscient de toutes vos croyances, vous continuerez de les voir sous forme physique, car elles créeront toujours la réalité que vous vivez et de ce que vous croyez être.


Les croyances inconscientes et conscientes des parents sont transmises à l’enfant, mais ceci ne signifie pas que les croyances des parents sont les seules croyances que l’enfant a.

Ceci signifie seulement que toutes les croyances des parents sont transférées à l’enfant.

Les croyances inconscientes de chaque individu proviennent de différentes expériences, ainsi que de croyances ancestrales maintenues à l’intérieur de la lignée génétique de l’enfant.


Ces fausses croyances s’inscrivent dans la construction de l’enfant :

- «Tu es l’homme de la maison» interdit au petit garçon de conserver sa place d’enfant

- «Tu es grosse, nulle, jamais aucun garçon ne voudra de toi» empêche la jeune fille de se construire une identité, un désir, une sexualité. Elle ressent une peur ou un dégoût de l’homme et d’elle-même...



- "il faut travailler dur ou mourir :

(mémoire des camps de concentration : Arbeit macht frei (Le travail rend libre))"



- "la société est corrompue donc

l'argent est sale"

(mémoire généalogique de corruption plongeant la famille dans la pauvreté)




Les mots sont un poison. L’enfant doit adopter une attitude adulte dont il ne connaît pas le sens, les règles et les limites, il refoule ses émotions, ce qui crée une fracture dans sa construction psychique. Non seulement le traumatisme est causé (et nié) par la violence des mots et des gestes, mais il imprime une trace durable et profondément handicapante soutenu par la mémoire épigénétique familiale.


Ces refoulements trouve naissance dans l'histoire héritée au fil du temps.

Des programmations limitantes nous affirment que nous ne serons pas à la hauteur, ou qu'on ne le mérite pas.

Nous menons des actions, nous faisons de notre mieux et pourtant nous n'en récoltons pas ou très peu les fruits.

Des addictions nous ont peut-être permis jusqu'ici « d'avancer » dans la vie, de survivre.

Le subconscient ici prend cette expérience comme une référence primaire de vie, il prendra désormais l'habitude de fonctionner dans le non-choix, dans l'état de victime. Ainsi peut-être, nous établirons, à leur grand bonheur, papa et maman au statut de « Parents sauveurs » !



3/ Des croyances harmonieuses avec le NT


Que fait le cerveau si deux systèmes de croyances s'opposent?

Cela crée un conflit de croyances.


Une expérimentation positive d'une croyance limitante va allé à l'encontre des preuves que nous avions jusqu'ici de ces croyances transmises par notre famille et de nos héritages subtiles et inconscient.

Le conflit généré représente une charge de stress négative entre la pensée (Neo-cortex, hypothalamus) et le ressenti hérité (limbique, reptilien).

Le cerveau va montrer à l'individu son conflit par des symptômes internes et externes, en somatisant.

Ces mauvais schémas de pensées et réactions émotionnelles contraignantes héritées et inconscientes s'extériorisent donc physiquement de divers manières (torticolis, lumbago, problème de peau, etc..) ou accident/incident en tout genre.

Le décodage biologique de la maladie est ainsi un facteur important de la "guérison" mais pas suffisamment puissant pour mener à une "normalisation de la santé" à long terme.

Le cerveau doit savoir quoi faire de cette énergie libérée, si elle n'est pas guidée par les techniques du neuro-training elle reviendra sous forme de refoulement, de mauvais comportements avec des réactions émotionnelles non contrôlables et de mauvaises perceptions sur notre environnement et sur nous-même parfois bien plus violent que le conflit d'origine lui-même, il sera difficile pour l'individu de faire le lien de causes à effet.


Le passé, les héritages limitants seront libérés par le neuro-training pour que le présent se construise sainement afin de se projeter sereinement dans le futur par des croyances harmonieuses et congruentes.


Vous avez compris que la perception de votre entourage et de vous-même est un phénomène réductionniste et non complet, c'est un système de défense et d'élimination neurologique et cela construit vos croyances.


Je vous accompagne, pour vous amener à passer à l'action, à réussir vos objectifs, pour que la vie ne soit pas que théoriques !

Que la vie ne soit pas justifier par vos peurs et maintenu par des habitudes qui vous rend esclave.

Je vous accompagne à relever des défis ! A vivre votre vie comme vous l'entendez !


Portez-vous bien !



Sandrine BIANI

Neuro-trainer

RDV au 06 11 40 50 86

Cabinet sur Marignane















 
 
 

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